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Le monde d'après, dans Ouest France

Le 16/03/2021

Suite au rendez-vous de presse de Samedi pour présenter la coordination, un papier de Nadine Paris dans Ouest-France d'aujourd'hui mardi.

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Loi « Sécurité globale » : un film documentaire

Le 15/03/2021

Loi « Sécurité globale » : un film documentaire pour décrypter trois points sensibles

Un film réalisé par trois équipes universitaires : Karine Parrot, CY Cergy Paris Université, Lucie Cluzel, Université Paris Nanterre – Université Paris Lumières, Ludivine Richefeu, CY Cergy Paris Université, Noé Wagener, Université de Rouen Normandie, Raphaële Parizot, Université Paris Nanterre – Université Paris Lumières.

 

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Une émission en direct sur les réseaux sociaux

Le 15/03/2021

La Coordination nationale #StoploiSécuritéglobale attaque cette semaine capitale en réalisant une émission en direct sur Twitch, Facebook et Youtube, diffusée lundi,à 21 h. Pour la voir ou la revoir.

 

 

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Appel à manifester, Samedi 20, à Saint-Malo

Le 13/03/2021

LOI DE SÉCURITÉ GLOBALE, LOI SÉPARATISME, CITOYENS RÉFÉRENTS…

NOUS N’ACCEPTONS PAS  CES ATTEINTES Á LA DÉMOCRATIE 

La coordination « Le Monde d’Après* » du Pays de Saint-Malo s’est engagée dès sa création pour la défense des libertés démocratiques sérieusement menacées par les initiatives de l’actuel gouvernement en matière de sécurité publique. C’est ainsi qu’elle s’est mobilisée dès le 1er mai 2020 pour la défense du droit de manifester, mis en cause par l’actuelle gestion de la crise sanitaire qui entrave l’organisation des rassemblements ou des manifestations. 

La plus récente édition de ROUGE EMERAUDE

Le 05/03/2021

Accédez à la dernière édition de ROUGE EMERAUDE, la revue malouine du NPA, membre de la coordination.

 

Lettre ouverte de la LDH au Maire de Saint-Malo au sujet des "citoyens référents"

Le 04/03/2021

La section de Saint-Malo de la LDH (membre de la coordination) a adressé une lettre ouverte au Maire de Saint-Malo qui a été publiée dans la presse locale. La Ligue s'inquiète des dérives possibles de ce dispositif et de ses conséquences sur les libertés publiques. Elle regrette l'absence de débat avec la population, les associations, les comités de quartier.

Pour lire l'intégralité de la lettre et la partager, télécharger le fichier PDF  Lettre ouverte ldh citoyens re fe rents mairie sept 2021lettre-ouverte-ldh-citoyens-re-fe-rents-mairie-sept-2021.pdf (133.13 Ko)

Les mesures liberticides prises depuis l’élection du président Macron en 2017

Le 04/03/2021

Dans le cadre d'une Intervention publique prononcée à l'occasion du rassemblement organisée à Saint-Malo le 28 novembre contre le projet de loi « Sécurité globale » Charles Maurices de   "Solidaires 35 Pays Malouin" a établi - au nom de la coordination, la Liste des principales mesures liberticides prises depuis l’élection de Macron en 2017.

  1. Dès son arrivée au pouvoir, Macron met fin à l’état d’urgence instauré au lendemain des attentats de novembre 2015. Mais la loi du 30 octobre 2017 « renforçant la sécurité intérieure » intègre certaines des principales dispositions de l’état d’urgence dans le droit commun. Les assignations à résidence, les perquisitions de jour comme de nuit, la dissolution d’associations et la fermeture des lieux de culte sont maintenant utilisables par les autorités administratives sans l’intervention d’un juge.
  2. La loi contre les fausses nouvelles « loi relative à la lutte contre les manipulations de l’information en période électorale » (novembre 2018) donne le pouvoir à l’Etat de déterminer le caractère erroné de l’information. La pente vers la propagande d’Etat est ainsi ouverte.
  3. La loi asile et immigration (10 septembre 2018) présentée par Gérard Collomb « rend les procédures encore plus difficiles pour les plus vulnérables » (propos tenu par la présidente de la Commission nationale consultative des droits de l’homme). Jacques Toubon, défenseur des droits estimait que le demandeur d’asile était maltraité. La contrôleuse générale des lieux de privation de liberté, Adeline Hazan, a fait part de « ses vives inquiétudes pour les droits fondamentaux des personnes étrangères ».
  4. La loi sur le secret des affaires 30 juillet 2018. Le but officiel : protéger les entreprises des concurrents en leur garantissant des protections plus importantes pour leurs secrets stratégiques. Les conséquences sont désastreuses pour les journalistes et les lanceurs d’alerte qui voudraient dévoiler des manquements importants de la part des entreprises. Selon l’ONG Anticor, à cause d’une définition trop large du secret des affaires, les laboratoires Servier auraient échappé au scandale du Médiator et personne n’aurait entendu parler des « Panama papers », des « Paradise papers », du « Diesel gate » ou de l’affaire UBS.
  5. La loi anticasseur (2019) a été censurée dans son article principal par le Conseil constitutionnel. Cet article prévoyait la possibilité pour les autorités administratives et non plus judiciaires d’interdire à certaines personnes de manifester sur la base   de libellés les plus vagues, de simples présomptions.
  6. Le Conseil de déontologie journalistique (2019). A ce propos, d’après le journaliste du Point Emmanuel Beretta, Macron a déclaré en février 2019 « Le bien public c’est l’information…Il faut s’assurer qu’elle est neutre, financer des structures qui assurent la neutralité. Il faut que pour cette part- là, la vérification de l’information, il y ait une forme de subvention publique assumée, avec des garants qui soient des journalistes. »Un conseil de déontologie journalistique a vu le jour et a tenu sa première séance le 2 décembre 2019.Derrière le prétexte de la déontologie, pointe le risque d’un contrôle étatique renforcé qui bride la liberté de la presse.
  7. La loi Avia contre la haine en ligne (avril 2020). L’absence de garanties juridiques pour juger de la nécessité de retirer de façon expresse les contenus litigieux a amené le Conseil constitutionnel à censurer lourdement cette loi.
  8. La loi sur la recherche votée définitivement ces jours derniers permettra de museler les mobilisations étudiantes par un délit d’entrave. Le gouvernement dit qu’il ne s’agit que d’empêcher l’intrusion d’éléments extérieurs mais la rédaction du texte n’empêchera pas qu’il soit utilisé contre des étudiants qui occuperaient un amphi ou une faculté. Les peines prévues sont très lourdes : 3ans d’emprisonnement et 45 000 euros d’amende si les faits sont effectués en réunion.
  9. Il ne s’agit pas d’une loi mais d’une mesure administrative. Le gouvernement profite de la stupéfaction et de l’effroi provoqués par l’assassinat de Samuel Paty pour dissoudre le Collectif contre l’islamophobie en France, association dont la raison d’être consiste à dénoncer et à lutter contre les actes et les discriminations dont les personnes de confession musulmane sont victimes. On peut être en désaccord avec son activité mais cette association ne prêche pas le djihad et n’organise pas d’attentats. Elle n’approuve pas les attentats. Il s’agit d’une atteinte claire à la liberté d’expression et d’association. Cela n’a rien à voir avec la lutte contre le terrorisme.
  10.  La convocation par la DGSI (service de renseignement) de journalistes ayant accompli leur travail de journalistes d’investigation : Ariane Chemin du Monde pour un article sur l’affaire Benalla, 4 journalistes du média d’investigation « Disclose » pour avoir publié un document confidentiel défense révélant que les armes françaises vendues à l’Arabie Saoudite et aux Emirats arabes unis sont utilisées dans la guerre se déroulant au Yémen, Valentine Oberti et 2 autres salariés du média « Quotidien ». L’objectif étant, en contradiction avec la loi qui protège les journalistes, d’obtenir leur source mais aussi de les empêcher de publier de nouveaux documents confidentiels en les menaçant.

        Evidemment, n’oublions pas dans cette liste la loi Sécurité globale que l’intervenant précédent vient d’analyser.

Si l’on ajoute à cela une gestion violente des manifestations dont le but est de dissuader les gens de manifester, une institution policière gangrenée par le racisme et multipliant des bavures qui sont devenues systémiques, nous avons un ensemble très inquiétant.

Limiter la liberté d’informer, le droit de manifester, de mener des luttes sociales, cela fait sens. Ce qui se met en place sous nos yeux c’est un capitalisme autoritaire qui s’attaque au socle démocratique républicain.

C’est le pendant du néolibéralisme. Macron s’est attaqué au code du travail (la loi EL Khomri votée sous Hollande lui est apparue insuffisante), aux retraites et aux retraités, aux chômeurs, aux immigrés, aux services publics dans leur ensemble. Il affaiblit la sécurité la Sécurité sociale avec pour objectif de la détruire. Il a mené une politique de redistribution à l’envers, il a pris aux pauvres pour donner aux riches. Il a distribué aux entreprises sans contrepartie ni contrôle des sommes très importantes qui ont enrichi les actionnaires sans ruisseler sur le peuple.

Cette politique au service des actionnaires et des financiers augmente les inégalités et les déséquilibres sociaux.

Dans quelque temps, la sortie de crise sanitaire verra ce pouvoir, au nom de la crise économique, mettre en place des mesures austéritaires violentes qui généreront des contestations. L’Etat autoritaire qui se constitue servira alors à nos dirigeants à museler la protestation.

Le néolibéralisme économique ne se conjugue pas facilement avec les libertés publiques.  Souvenons-nous que la première expérience de néolibéralisme dans le monde a eu lieu au Chili, suite à la mise en place de la dictature de Pinochet en 1973.

Nous devons tout faire pour empêcher cette dérive liberticide. Justice et liberté, c’est le sens des combats que nous devons continuer à mener, avec l’espoir de changer enfin le cours des événements. Sans oublier la crise climatique qui est devenue cruciale.

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Pas question de négocier la liberté d’informer !

Le 04/03/2021

Le combat contre les lois liberticides continue. Préserver la liberté de la presse en est un aspec central.  

Philippe de Vandeuvre, co-président du Club de la presse de Bretagne avait préparé cette intervention pour la manifestaion du 16 janvier. 

 

Il est important aujourd’hui de faire preuve de militantisme et de conviction dans nos actions et jusqu’au retrait de ce la proposition de loi « Sécurité globale ». Le nombre croissant d’opposants à ce texte liberticide est la preuve que l’on ne peut bafouer impunément des droits fondamentaux comme celui d’informer. 

C’est la preuve que l’on ne peut empêcher les professionnels de l’information qui sont garants de cette liberté de faire leur métier.

C’est la preuve qu’en France, pays des libertés et des droits de l’Homme, les journalistes ne sauraient être à la botte du pouvoir.

D’autant que ce projet de loi enfin s’inscrit dans la continuité de textes tous plus répressifs et délétères pour la liberté d’informer. Car il ne faut pas oublier que la scandaleuse loi sur le secret des affaires et la non moins lamentable législation sur les infox et autres fake news sont déjà venues restreindre la capacité des journalistes à exercer librement leur métier.

Le gouvernement doit entendre ce message et retirer le projet de loi liberticide qu’il prétend dénommer sécurité globaleCar il est en réalité source d’insécurité pour les journalistes et pour tous les citoyens.

Souvenez vous de Manon, de Rémy ou encore plus récemment de MichelTous ont en commun d’avoir pâti d’avoir subi des violences policières. Certes, ces violences sont exceptionnelles. Mais elles existent ! Et le nier seraient nier la réalité !

Nous ne pouvons donc tolérer que l’on nous interdise de pouvoir contrôler ceux à qui nous, citoyens, avons délégué l’usage de la force. C’est une prérogative que nous avons concédé à ceux censés nous protéger. Mais ce n’est pas un blanc seing.

Et vouloir nous interdire d’informer, de vous informer c’est tendre vers l’arbitraire. Car la libre circulation de l’information est garante du bon fonctionnement d’une société démocratique.

Pas question donc de négocier la liberté d’informer !

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Sur le dispositif "citoyens référents" un débat approfondi qui ouvre des perspectives.

Le 01/03/2021

Le 16 Février la coordination "Le Monde d'Après" organisait un premier débat en conférence vidéo sur le projet municipal de "citoyens référents". Quarante sept personnes mobilisées à l'appel de la coordination pour la défense des libertés publiques ont participé à trois groupes de travail pour analyser ce qui fonde ce projet de mobilisation des citoyen.ne.s pour sécuriser la ville !

Vous n'avez pu participer au débat et ce projet vous inquiète et vous mobilise, nous avons enregistré et rédigé la synthèse des trois groupes.

La coordination va suivre attentivement la mise en place de ce projet par la municipalité et poursuivra la sensibilisation et la mobilisation citoyenne pour qu'il y soit mis un terme ou pour en limiter les effets néfastes.

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 La coordination « Le Monde d’après » s’inquiète des lenteurs de la campagne vaccinale à Saint-Malo

Le 26/02/2021

Dans la situation sanitaire présente, la coordination locale "Le Monde d’Après" s’inquiète de la lenteur de la campagne vaccinale dans notre région comme sur le plan national .

Commencée, début janvier dans les établissements de soins puis le 18 janvier au Centre du Naye, la vaccination n’avait touché au 14 février que 6.664 personnes, dont seulement 1517 avaient reçu le nombre complet de doses. Le centre du Naye ne disposait que de 300 doses par semaine. Sachant que dans le bassin de Saint-Malo le nombre des personnes âgées de plus de 75 ans est de l’ordre de 20.000, on mesure que le rythme de la campagne vaccinale est très insuffisant et que la protection des personnes volontaires les plus exposées aux formes graves de la Covid-19 ne pourra être acquise que dans plusieurs mois. Quant aux autres personnes, l’horizon reste très lointain.

On nous annonce que le centre du Naye va disposer à partir du 1er mars de 800 doses par semaine ainsi que des disponibilités en vaccin Astra Zénéca, dont l'administration est connue, par ailleurs, pour avoir généré des effets secondaires significatifs.   L'évolution annoncée est certes appréciable. Il n'en demeure pas moins que la coordination locale entend reprendre à son com^te les initiatives de centaines d'associations, d'organisations syndicales, sociales et politiques, nationales et européennes.

 

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A PROPOS DU PROJET DE RE-ORGANISATION HOSPITALIERE DU TERRITOIRE SAINT-MALO - DINAN

Le 24/02/2021

Ainsi donc, le directeur de l’Agence Régionale de Santé, le directeur du Groupement Hospitalier de Territoire (hôpitaux publics de Saint-Malo, Dinan et Cancale), les maires de ces trois communes et les médecins président.es des Commissions médicales viennent de signer une lettre de cadrage, décrivant le futur de l’organisation hospitalière de notre région. Cette signature a fait l’objet d’un certain battage médiatique. Pour autant, le contenu de la lettre de cadrage n’a pas été rendu public de même d’ailleurs que l’étude du cabinet Rossetti (M Santé Conseil) sur laquelle il s’appuie. Dans ces conditions de relative opacité, on est contraint de raisonner avec prudence par rapport à cette annonce et sur la base de la communication officielle. 

Deux orientations majeures 

Vidéo débat sur le dispositif "citoyen référent", inscrivez-vous.

Le 14/02/2021

La coordination "Le Monde d'Après" organise un premier débat en conférence vidéo, Mardi 16 Février à partir de 18 h 30, sur le projet municipal de "citoyens référents". Pour participer s'inscrire par mail avant lundi soir à l'adresse construisonslapres@gmail.com.

Tribune Loi séparatisme : une grave atteinte aux libertés associatives

Le 09/02/2021

 Un collectif d'associations et de chercheurs signe dans Libération une tribune pour dénoncer ce nouveau texte de LA LOI SEPARATISME qui a pour objectif d’encadrer, contrôler et sanctionner davantage l’action associative. Il constitue une menace grave pour l'ensemble de leurs actions.

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La Coordination « Le Monde d’après » appelle à 2 rassemblements samedi 30 janvier à Saint-Malo

Le 27/01/2021

Lois et décrets liberticides, ça suffit 

28 novembre, 12 décembre, 16 janvier et maintenant 30 janvier. Les actions contre la loi dite de « sécurité globale », le projet de loi «confortant les principes de la République » et les décrets élargissant les possibilités de fichages policiers se poursuivent à Saint-Malo comme dans toute la France depuis la fin novembre. Cette action s’inscrit dans le mouvement impulsé au niveau national par le collectif Stop Loi de Sécurité Globale qui rassemble une cinquantaine d’organisations et une quinzaine de medias.

 Le Sénat examinera le projet de loi « sécurité globale » en mars. L’Assemblée Nationale a engagé ces derniers jours, l’examen du projet de loi "confortant les principes de la République". La Coordination « Le monde d’après » veut rencontrer la population pour  l’informer, l’alerter et échanger avec elle sur les mises en cause, au travers de ces textes, de nombreuses libertés individuelles et collectives qui constituent le socle de notre système démocratique.

Ces deux projets de textes s’ajoutent au rejet par le Conseil d’Etat du référé visant à suspendre l’application des décrets pris début décembre pour étendre le fichage des personnes sur la base d’opinions politiques, d’appartenances syndicales ou de données de santé. Ils constituent autant de signes d’alerte sur la dérive autoritaire qui marque l’action du pouvoir actuel, sans parler des tentatives d’intimidation policière lors des récentes manifestations contre les textes en question.

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La marche des libertés du 16 janvier

Le 17/01/2021

Le Monde d'après maintien son opposition à la loi sécurité globale et aux décrets sur le fichage des manifestants.

Emission d'Attac PMJ sur RPV

Le 15/01/2021

Depuis 1998Attac Pays malouin - Jersey est présent sur la Côte d'Emeraude. Panorama des combats passés présents et à venir.

Ecouter le podcast.

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Non à la casse d'EDF

Le 15/01/2021

Le gouvernement, en accord avec la direction d’EDF et la Commission européenne, prépare activement le démantèlement d’EDF – nommé projet « Hercule » – susceptible d’être adopté, par voie d’ordonnance (sans débat ni possibilité d’amendement pour les parlementaires), sous la forme d’un article de la future loi issue de la convention citoyenne sur le climat.